La famille Joseph Neddy Elzéar Aubin
En 1905, Joseph Neddy Elzéar Aubin et sa conjointe Marie-Louise (Gravel) partent de St-Félix de Valois, Québec, pour s’établir à Verner en Ontario, avec leurs huit enfants : Philippe (1893), Alphonse (1894), Julienne (1896), Gabriel (1897), Raphaël (1899), Antoinette (1901), Bernadette (1903) et Hector (1905). Au fil des ans, quatre autres enfants sont nés : Henri (1907), Marie-Anna (1910), Paul (1913) et George (1915) décédé deux mois après la naissance.
Aucune trace ne reste de la première ferme qu’habitent Joseph et Marie-Louise et qu’ils quittent en 1919 pour aller s’établir sur une autre ferme, située sur la route 64, plus près du village de Lavigne, où maison et bâtiments sont déjà construits. Par ailleurs, à ce jour, cette ferme est restée dans la famille Aubin. Joseph et Marie-Louise y ont élevé leurs enfants; à leur tour, leur fils Paul et son épouse, Rose Alma (Ducharme) ont élevé leurs dix enfants sur cette même ferme laitière. Aujourd’hui, bien que la ferme laitière soit chose du passé, Rita Dauphinais, fille de Paul, habite toujours la maison paternelle.
Bien que plusieurs enfants de la famille de Joseph se soient installés aillleurs avec les années, certains sont restés dans les environs de Lavigne. De fait, l’aîné, Philippe et son épouse Léona (Poirier) s’établirent sur une ferme située dans le rang des Michel (aujourd’hui appelé chemin Michel). Ils ont eu quinze enfants. Lorsqu’ils prirent leur retraite, ils passèrent la ferme laitère à leurs fils Lionel et Joseph. Cette propriété est toujours restée dans la famille puisqu’un petit-fils de Philippe, Bernard Rivest, y réside présentement avec son épouse, Lucie (Rainville).
Bernadette suit l’exemple de son frère aîné et s’installe elle aussi, avec son époux Rosario Lemieux, sur une ferme laitière située au bout du rang des Michel. À la retraite, Claude, leur fils et son épouse, Marguerite (Hurtubise) s’établissent sur cette même ferme. Depuis, ils se sont construit une nouvelle maison tout près de la ferme paternelle.
Gabriel, célibataire, a passé toute sa vie sur une propriété située su rla rive sud du Lac Nipissing (aujourd’hui on la retrouve dans le chemin Hillman) à Lavigne. Artiste, il adorait sculpter et jouissait pleinement de la nature qui l’entourait. Homme jovial, il aimait rire et s’amusait à jouer des tours à ses voisins. L’hiver arrivé, on le voyait traverser la baie gelée, ses chiens tirant le traîneau qui allait s’arrêter devant le Magasin Pilon où il se procurait ses ravitaillements pour la saison froide.
Enfin, Hector et sa femme Alida (Vincent) ont demeuré vingt ans au sud de Lavigne PRÉCISIONS. Huit enfants sont nés de cette union.
Bien que Joseph était bien établi en Ontario, souvent, au début, il regrettait son exil en Ontario et exprimait le désir d’aller finir ses jours à St-Félix de Valois. Dans les années trente, après une visite de quelques semaines passées à l’érablière de son frère Félix dans cette région, il revient sur sa ferme, oubliant pour toujours son rêve de retourner à St-Félix de Valois pour y mourir. Son épouse et lui-même finirent leurs beaux jours dans leur jolie maison de briques rouges, sur la ferme qu’ils avaient acheté en 1919, entourés de leurs enfants Paul et Rose Aubin.
Aucune trace ne reste de la première ferme qu’habitent Joseph et Marie-Louise et qu’ils quittent en 1919 pour aller s’établir sur une autre ferme, située sur la route 64, plus près du village de Lavigne, où maison et bâtiments sont déjà construits. Par ailleurs, à ce jour, cette ferme est restée dans la famille Aubin. Joseph et Marie-Louise y ont élevé leurs enfants; à leur tour, leur fils Paul et son épouse, Rose Alma (Ducharme) ont élevé leurs dix enfants sur cette même ferme laitière. Aujourd’hui, bien que la ferme laitière soit chose du passé, Rita Dauphinais, fille de Paul, habite toujours la maison paternelle.
Bien que plusieurs enfants de la famille de Joseph se soient installés aillleurs avec les années, certains sont restés dans les environs de Lavigne. De fait, l’aîné, Philippe et son épouse Léona (Poirier) s’établirent sur une ferme située dans le rang des Michel (aujourd’hui appelé chemin Michel). Ils ont eu quinze enfants. Lorsqu’ils prirent leur retraite, ils passèrent la ferme laitère à leurs fils Lionel et Joseph. Cette propriété est toujours restée dans la famille puisqu’un petit-fils de Philippe, Bernard Rivest, y réside présentement avec son épouse, Lucie (Rainville).
Bernadette suit l’exemple de son frère aîné et s’installe elle aussi, avec son époux Rosario Lemieux, sur une ferme laitière située au bout du rang des Michel. À la retraite, Claude, leur fils et son épouse, Marguerite (Hurtubise) s’établissent sur cette même ferme. Depuis, ils se sont construit une nouvelle maison tout près de la ferme paternelle.
Gabriel, célibataire, a passé toute sa vie sur une propriété située su rla rive sud du Lac Nipissing (aujourd’hui on la retrouve dans le chemin Hillman) à Lavigne. Artiste, il adorait sculpter et jouissait pleinement de la nature qui l’entourait. Homme jovial, il aimait rire et s’amusait à jouer des tours à ses voisins. L’hiver arrivé, on le voyait traverser la baie gelée, ses chiens tirant le traîneau qui allait s’arrêter devant le Magasin Pilon où il se procurait ses ravitaillements pour la saison froide.
Enfin, Hector et sa femme Alida (Vincent) ont demeuré vingt ans au sud de Lavigne PRÉCISIONS. Huit enfants sont nés de cette union.
Bien que Joseph était bien établi en Ontario, souvent, au début, il regrettait son exil en Ontario et exprimait le désir d’aller finir ses jours à St-Félix de Valois. Dans les années trente, après une visite de quelques semaines passées à l’érablière de son frère Félix dans cette région, il revient sur sa ferme, oubliant pour toujours son rêve de retourner à St-Félix de Valois pour y mourir. Son épouse et lui-même finirent leurs beaux jours dans leur jolie maison de briques rouges, sur la ferme qu’ils avaient acheté en 1919, entourés de leurs enfants Paul et Rose Aubin.

Photo de Marie-Louise et joseph Aubin (1950)