Cet article a été écrit par Jeannine Ouellette, M.A. le 7 novembre 2012 et puisé de son site
https://femmesdelaroute11.wordpress.com/2012/11/07/denise-truax/denise truax
Merci Jeannine!
Pionnière de l’édition en Ontario français, chef de file culturel
«J’adore mon métier. Ma première décision d’éditrice, je l’ai prise à l’adolescence quand j’ai écrit mon nom avec des lettres minuscules uniquement[…]».
— denise truax, citée dans Liaison, n 141, 2008
denise est née à Sherbrooke et a grandi à Sturgeon Falls à partir de l’âge d’un an.
Elle habite présentement la ville de Sudbury où elle dirige la maison d’édition Prise de parole depuis 1988. Prise de parole est la plus grande maison littéraire du Canada français hors Québec, mise sur pied par Gaston Tremblay en 1973.
Avant de devenir la directrice générale de Prise de Parole, denise a fondé les Éditions L’Interligne à Ottawa en 1981, et est la mère nourricière de la revue littéraire Liaison (1978-1983).
Reconnue comme étant une « architecte des structures culturelles », denise a contribué à la création du Regroupement des éditeurs canadiens-français, dont elle a été la première présidente.
Elle a également participé à la mise sur pied du Salon du livre du Grand Sudbury.
Visionnaire engagée dans la valorisation, l’organisation et la production de la littérature canadienne de langue française, elle a reçu le prix Robert Dickson, en 2008, pour souligner l’ampleur de son dévouement à la culture en Ontario français et au Canada.
Engagée dans la communauté culturelle, denise s’est donné le mandat d’assurer les intérêts des créateurs et des artistes, tant par sa présence sur la scène littéraire que par sa participation à d’innombrables consultations et études.
Au cours des décennies, elle a assumé plusieurs titres de responsabilité à l’échelle nationale, provinciale et régionale, avec l’intention de développer les organismes de représentation et de soutien à la création et à la diffusion artistique.
Elle a tenu des postes de premier rang dans des organismes à vocation culturelle et communautaire tels la Fédération culturelle canadienne-française et le Regroupement des éditeurs canadiens-français.
Elle a également cofondé le Salon du livre de Sudbury et siégé au conseil d’administration du Conseil des Arts de l’Ontario pendant 5 ans.
Références :planete.qc.ca; id.erudit.org/iderudit/1404ac; prisedeparole.ca zonedecriture.radio-canada.ca; texte de d. truax.
https://femmesdelaroute11.wordpress.com/2012/11/07/denise-truax/denise truax
Merci Jeannine!
Pionnière de l’édition en Ontario français, chef de file culturel
«J’adore mon métier. Ma première décision d’éditrice, je l’ai prise à l’adolescence quand j’ai écrit mon nom avec des lettres minuscules uniquement[…]».
— denise truax, citée dans Liaison, n 141, 2008
denise est née à Sherbrooke et a grandi à Sturgeon Falls à partir de l’âge d’un an.
Elle habite présentement la ville de Sudbury où elle dirige la maison d’édition Prise de parole depuis 1988. Prise de parole est la plus grande maison littéraire du Canada français hors Québec, mise sur pied par Gaston Tremblay en 1973.
Avant de devenir la directrice générale de Prise de Parole, denise a fondé les Éditions L’Interligne à Ottawa en 1981, et est la mère nourricière de la revue littéraire Liaison (1978-1983).
Reconnue comme étant une « architecte des structures culturelles », denise a contribué à la création du Regroupement des éditeurs canadiens-français, dont elle a été la première présidente.
Elle a également participé à la mise sur pied du Salon du livre du Grand Sudbury.
Visionnaire engagée dans la valorisation, l’organisation et la production de la littérature canadienne de langue française, elle a reçu le prix Robert Dickson, en 2008, pour souligner l’ampleur de son dévouement à la culture en Ontario français et au Canada.
Engagée dans la communauté culturelle, denise s’est donné le mandat d’assurer les intérêts des créateurs et des artistes, tant par sa présence sur la scène littéraire que par sa participation à d’innombrables consultations et études.
Au cours des décennies, elle a assumé plusieurs titres de responsabilité à l’échelle nationale, provinciale et régionale, avec l’intention de développer les organismes de représentation et de soutien à la création et à la diffusion artistique.
Elle a tenu des postes de premier rang dans des organismes à vocation culturelle et communautaire tels la Fédération culturelle canadienne-française et le Regroupement des éditeurs canadiens-français.
Elle a également cofondé le Salon du livre de Sudbury et siégé au conseil d’administration du Conseil des Arts de l’Ontario pendant 5 ans.
Références :planete.qc.ca; id.erudit.org/iderudit/1404ac; prisedeparole.ca zonedecriture.radio-canada.ca; texte de d. truax.
Pour visionner une entrevue avec denise truax, surligner sur le site suivant, ensuite copier et coller sur google et faire "entrée/enter"
https://www.tfo.org/fr/univers/carte-de-visite/100464619/denise-truax-directrice-generale-et-editoriale-editions-prise-de-parole#.WOfSwLrt-iQ.gmail
https://www.tfo.org/fr/univers/carte-de-visite/100464619/denise-truax-directrice-generale-et-editoriale-editions-prise-de-parole#.WOfSwLrt-iQ.gmail
denise truax reçoit le Prix du Nouvel Ontario
Référence: http://www.prisedeparole.ca/2016/04/04/denise-truax-recoit-le-prix-du-nouvel-ontario/
C’est devant une salle comble que denise truax, codirectrice générale et directrice de l’édition des Éditions Prise de parole, a reçu le Prix du Nouvel Ontario le 2 avril dernier lors de la 43e Nuit sur l’étang, à Sudbury.
Depuis plus de trente ans, denise truax consacre ses énergies au rayonnement d’une francophonie qui sait se faire lire. D’abord rédactrice en chef de la revue Liaison, puis consultante, on la sollicite à divers conseils d’administration, dont celui du Conseil des Arts de l’Ontario, et à la présidence d’organismes, dont la Fédération culturelle canadienne-française. Son travail aux Éditions Prise de parole, où elle œuvre depuis 1988, permet à la littérature franco-canadienne de bénéficier d’un espace de création et de réflexion privilégié, en plus de faire découvrir à un large lectorat les voix des auteurs francophones d’Ontario, d’Acadie et de l’Ouest.
En 1983, le comité organisateur de La Nuit sur l’étang commémorait son 10eanniversaire en créant un prix d’excellence en Arts et en Lettres, le Prix du Nouvel Ontario. Ce prix est depuis remis annuellement à une personne qui se distingue par une contribution majeure au développement culturel ou social de l’Ontario français. De grands noms ont reçu le Prix du Nouvel Ontario : Jean-Éthier Blais, Marguerite Anderson, Germain Lemieux, Hélène Gravel, Gaston Tremblay…
Partenaire des débuts, Radio-Canada remet au récipiendaire une bourse
de 2 000 $, témoignant de son enracinement en Ontario.