Vous voulez les plus récentes informations sur Desaulniers, ce petit hameau qui a vu le jour vers les 1885, de dire Florence Serré, ancienne résidente? Procurez-vous le livre "Desaulniers" Hommage à mon village et ses familles, de Florence Serré.
Ses coordonnées pour la contacter :
[email protected]
tel. 613-698-3338,
Ses livres sont aussi en vente chez :
Michaud & Levesque Ltée,
222 Main St, Sturgeon Falls, ON P2B 2Z6,
Téléphone : (705) 753-2233
publié le 18 octobre 2023
2023 Note expliquant la source de l'info qui suit :
Le 14 octobre 2023, dans un courriel envoyé à Raymonde Gaudette, membre de la SHNO, Florence Serré, Florence ajoute des détails intéressants à l'histoire de Desaulniers, réfutant certains faits que l'on retrouve dans les textes qui suivent.
Bonjour Raymonde et les membres, je m'adresse à vous pour souligner combien il se trouvent des abstentions significatives pour l'histoire du Nipissing. Je précise :
Dans l'établissement des communautés, à Desaulniers, on ne fait pas mention que Ferdinand Serré devient maître de poste jusqu'en 1957 et construit l'épicerie Serré de l'autre côté du chemin et demeure maître de poste jusqu'en 1964 environ alors que Georges Vallières est le gérant de la coopérative jusqu'à sa fermeture en 1964.
Aussi, les deux premiers arrivants à Desaulniers furent : Misaël Bigras, oui MAIS accompagné de son beau frère Pierre Aubin mon arrière grand père qui a été le premier colon a monter la rivière Sturgeon avec un guide autochtone...
Svp, consulter "Desaulniers" Hommage à mon village et ses familles, de Florence Serré, aux pages 9-12 et 44
Merci beaucoup,
Florence Serré auteure
Dans l'établissement des communautés, à Desaulniers, on ne fait pas mention que Ferdinand Serré devient maître de poste jusqu'en 1957 et construit l'épicerie Serré de l'autre côté du chemin et demeure maître de poste jusqu'en 1964 environ alors que Georges Vallières est le gérant de la coopérative jusqu'à sa fermeture en 1964.
Aussi, les deux premiers arrivants à Desaulniers furent : Misaël Bigras, oui MAIS accompagné de son beau frère Pierre Aubin mon arrière grand père qui a été le premier colon a monter la rivière Sturgeon avec un guide autochtone...
Svp, consulter "Desaulniers" Hommage à mon village et ses familles, de Florence Serré, aux pages 9-12 et 44
Merci beaucoup,
Florence Serré auteure
Source : https://lavoixdunord.ca/actualites/2022/07/07/revisiter-lhistoire-dun-village-disparu/
article paru LE JEUDI 7 JUILLET 2022 9:23 ACTUALITÉS dans le journal La voix du nord, auteur ÉRIC BOUTILIER LE VOYAGEUR
Un nouveau livre portant sur les origines, l’existence et le déclin du village de Désaulniers a été publié par une de ses anciennes résidentes. L’autrice franco-ontarienne, Florence Serré, retrace l’histoire de son village d’enfance et des familles qui y ont demeuré.
Revisiter l’histoire d’un village disparu
0:000:00«Dans mon livre, je ne mise pas autant sur le village disparu, mais sur le village qui a existé. C’est une autre façon de le voir.»
Le travail de Mme Serré ramène les lecteurs dans le passé, à une époque où Désaulniers était une communauté vibrante. Nichée entre Field et River Valley, ce petit hameau a accueilli plusieurs générations de francophones.
Malgré la quasi-disparition des édifices et de plusieurs vestiges, le village est bien vivant dans la mémoire collective des personnes avec qui Mme Serré a rencontré dans le cadre de ses trois mois de recherches pour un article qu’elle écrivait.
«La revue Le Chaînon m’a contacté pour faire un article sur Désaulniers, un village disparu. Ils me donnaient juste quelques pages, mais moi je voulais tellement tout englober, parler des familles et inclure les dates. J’en avais beaucoup trop, raconte Mme Serré. J’avais fait de la recherche déjà, et là, je me suis dit : “Bien, je vais continuer ma recherche”.»
«Je m’acharnais [de quatre à six heures] chaque jour. J’étais vraiment décidé de finir ça, de faire quelque chose de bien», révèle l’écrivaine qui demeure maintenant à Ottawa.
Désaulniers doit surtout son existence à un groupe de pionniers qui ont choisi de s’installer dans cette région isolée du Nord de l’Ontario à la fin du XIXe siècle. Les familles Aubin, Bigras, Quenneville, Serré, Taillefer, Tanguay et Trépanier ont bâti les premiers édifices de la communauté.
«Partout on dit, c’est le père Désaulniers qui a fondé Désaulniers. Uh uh huh. Il n’y avait pas de nom, mais les familles étaient bien établies», précise Mme Serré. Le village est apparu en 1885, le père Désaulniers n’y est passé qu’en 1915.
«Les fondateurs de Désaulniers sont les hommes et les femmes qui ont vraiment retroussé leurs manches, ont défriché les terres pour bâtir une maison et ont déterré de leurs propres mains. Je lève mon chapeau à ces familles-là», dit Mme Serré. LE JEUDI 7 JUILLET 2022 9:23 ACTUALITÉSRevisiter l’histoire d’un village disparu
ÉRIC BOUTILIER
LE VOYAGEUR
Revisiter l’histoire d’un village disparu
0:000:00«Dans mon livre, je ne mise pas autant sur le village disparu, mais sur le village qui a existé. C’est une autre façon de le voir.»
Le travail de Mme Serré ramène les lecteurs dans le passé, à une époque où Désaulniers était une communauté vibrante. Nichée entre Field et River Valley, ce petit hameau a accueilli plusieurs générations de francophones.
Malgré la quasi-disparition des édifices et de plusieurs vestiges, le village est bien vivant dans la mémoire collective des personnes avec qui Mme Serré a rencontré dans le cadre de ses trois mois de recherches pour un article qu’elle écrivait.
«La revue Le Chaînon m’a contacté pour faire un article sur Désaulniers, un village disparu. Ils me donnaient juste quelques pages, mais moi je voulais tellement tout englober, parler des familles et inclure les dates. J’en avais beaucoup trop, raconte Mme Serré. J’avais fait de la recherche déjà, et là, je me suis dit : “Bien, je vais continuer ma recherche”.»
«Je m’acharnais [de quatre à six heures] chaque jour. J’étais vraiment décidé de finir ça, de faire quelque chose de bien», révèle l’écrivaine qui demeure maintenant à Ottawa.
Désaulniers doit surtout son existence à un groupe de pionniers qui ont choisi de s’installer dans cette région isolée du Nord de l’Ontario à la fin du XIXe siècle. Les familles Aubin, Bigras, Quenneville, Serré, Taillefer, Tanguay et Trépanier ont bâti les premiers édifices de la communauté.
«Partout on dit, c’est le père Désaulniers qui a fondé Désaulniers. Uh uh huh. Il n’y avait pas de nom, mais les familles étaient bien établies», précise Mme Serré. Le village est apparu en 1885, le père Désaulniers n’y est passé qu’en 1915.
«Les fondateurs de Désaulniers sont les hommes et les femmes qui ont vraiment retroussé leurs manches, ont défriché les terres pour bâtir une maison et ont déterré de leurs propres mains. Je lève mon chapeau à ces familles-là», dit Mme Serré. LE JEUDI 7 JUILLET 2022 9:23 ACTUALITÉSRevisiter l’histoire d’un village disparu
ÉRIC BOUTILIER
LE VOYAGEUR
Référence : Texte soumis par Rachel Binette, membre de la Société Historique de Nipissing Ouest
Le père A.L. Desaulniers, rival du père Paradis décide de commencer une nouvelle colonie au nord de Gibbons et à l’est de la colonie de River Valley fondé par le père Paradis.
Les premiers colons arrivent à Desaulniers en 1895. Ces colons défrichent leur terre l’été et vont travailler dans les chantiers durant l’hiver. Ils nomment le nouveau village Sainte-Anne-de-Desaulniers nom qui sera également donné à l’église.
M. Quenneville ouvre le premier bureau de poste ainsi que le magasin général en 1895. L’arrivée du chemin de fer en 1913 solidifie les liens entre les bûcherons et les fermiers. On s’empresse d’ériger un endroit de rencontre pour le train, une station, un tour pour l’eau et plusieurs maisons construites par le chemin de fer pour ses employés. Lionel Vallières construit une fromagerie. On peut retrouver deux écoles : une école séparée et une école publique.
En 1915-1916, ces courageux colons construisent une église de bois avec un confessionnal, un autel, et la statue de Sainte-Anne, patronne de l’église. Cette église n’a malheureusement jamais été consacrée, car Monseigneur Scollard, l’évêque n’était pas d’accord. Finalement le 11 septembre 1916, il permet l’ouverture de l’église, mais ne la consacre pas. Le 25 septembre 1916, le père Thériault curé de Field célèbre la première messe. Le 29 juillet 1917, la statue est bénie, mais l’église n’est jamais consacrée.
À ce moment Desaulniers est un village très prospère avec 2 magasins, une fromagerie, un hôtel, une maison de pension, 2 écoles, l’église et un moulin à scie. Le magasin général est d’abord vendu à M. St-Louis qui le revend à Wilfrid Philippe en 1947. La coopérative achète le magasin et l’opère jusqu’en 1960 moments où il est revendu et brûle peu de temps après. Il n’est jamais reconstruit, car les gens déménagent et même le bureau de poste ferme ses portes en 1960.
Aujourd’hui, il reste peu de choses de ce village déjà prospère, on peut même dire que c’est un village abandonné avec très peu de résidents et aucune facilité.
Le video youtube (clique ta souris à droite et ensuite clique sur Go to: Google... pour visionner ce video)
https://youtu.be/lbtSdq8ZrU4
https://www.youtube.com/watch?v=lbtSdq8ZrU4&feature=youtu.be
et l'article suivant (en anglais), puisé du site http://www.ghosttownpix.com/ontario/intros/desaulnier.html
dénotent que Desaulniers est aujourd'hui un village fantôme
Le père A.L. Desaulniers, rival du père Paradis décide de commencer une nouvelle colonie au nord de Gibbons et à l’est de la colonie de River Valley fondé par le père Paradis.
Les premiers colons arrivent à Desaulniers en 1895. Ces colons défrichent leur terre l’été et vont travailler dans les chantiers durant l’hiver. Ils nomment le nouveau village Sainte-Anne-de-Desaulniers nom qui sera également donné à l’église.
M. Quenneville ouvre le premier bureau de poste ainsi que le magasin général en 1895. L’arrivée du chemin de fer en 1913 solidifie les liens entre les bûcherons et les fermiers. On s’empresse d’ériger un endroit de rencontre pour le train, une station, un tour pour l’eau et plusieurs maisons construites par le chemin de fer pour ses employés. Lionel Vallières construit une fromagerie. On peut retrouver deux écoles : une école séparée et une école publique.
En 1915-1916, ces courageux colons construisent une église de bois avec un confessionnal, un autel, et la statue de Sainte-Anne, patronne de l’église. Cette église n’a malheureusement jamais été consacrée, car Monseigneur Scollard, l’évêque n’était pas d’accord. Finalement le 11 septembre 1916, il permet l’ouverture de l’église, mais ne la consacre pas. Le 25 septembre 1916, le père Thériault curé de Field célèbre la première messe. Le 29 juillet 1917, la statue est bénie, mais l’église n’est jamais consacrée.
À ce moment Desaulniers est un village très prospère avec 2 magasins, une fromagerie, un hôtel, une maison de pension, 2 écoles, l’église et un moulin à scie. Le magasin général est d’abord vendu à M. St-Louis qui le revend à Wilfrid Philippe en 1947. La coopérative achète le magasin et l’opère jusqu’en 1960 moments où il est revendu et brûle peu de temps après. Il n’est jamais reconstruit, car les gens déménagent et même le bureau de poste ferme ses portes en 1960.
Aujourd’hui, il reste peu de choses de ce village déjà prospère, on peut même dire que c’est un village abandonné avec très peu de résidents et aucune facilité.
Le video youtube (clique ta souris à droite et ensuite clique sur Go to: Google... pour visionner ce video)
https://youtu.be/lbtSdq8ZrU4
https://www.youtube.com/watch?v=lbtSdq8ZrU4&feature=youtu.be
et l'article suivant (en anglais), puisé du site http://www.ghosttownpix.com/ontario/intros/desaulnier.html
dénotent que Desaulniers est aujourd'hui un village fantôme
1. LOCAL NEWS
Hind’s ghost town history brings to light West Nipissing stories
Authors latest book includes tales of Desaulniers, near Sturgeon Falls
Source : David Briggs, Local Journalism Initiative reporter
Jun 1, 2023 1:00 PM
Listen to this article. 00:04:54
Andrew Hind’s latest book brings to light a host of stories of forgotten and fading places, and he’s dedicated a chapter to the village of Desaulniers, northwest of Field, in West Nipissing. For fans of local history and ghost towns, Hind may already be on your shelf. He’s written over 30 books, most of which focus on aspects of Ontario’s history.
Earlier this month, Hind’s newest was released by Dundurn Press. Ghost Towns of Ontario’s Cottage Country details stories from 14 towns within Muskoka, Haliburton, and the Parry Sound, Nipissing, and Temiskaming Districts.
He’s no stranger to the subject, having written extensively about ghost towns and what he refers to as “faded communities” throughout our province. However, although he’s told many stories of ghost towns, he’s also written about haunted places, the old resorts and steamships of Muskoka and other aspects of local history.
His latest book highlights the vanished villages “that once prospered in the North.” The village of Desaulniers was perfect for the book, Hind noted, because once it was thriving, complete with “bustling main street,” but over time fell into a downward spiral.
Today, not much remains, save for one old building. However, after reading Hind’s book, one can see where the old sites stood, including the mill, the church – which itself caused great controversy in the village – to the general store. All of which have been lost to time, although Hind’s book preserves what remains of the ghost village.
He explained how he goes about saving these stories, and for him, the best way to find information is to talk with those who know. He spent some fine hours chatting with some of the relatives of those who first broke ground in Desaulniers.
Hind mentioned the Serre Family were one of the first in the area, then “a wave of eager settlers” came in the early 1890s. His chapter mentioned the Joanis family, the Courchesne’s, the Bigra’s, the Vallieres’ the Quenneville’s and others who farmed and worked the land.
“It was a difficult life at first,” Hind noted, but eventually things picked up and a rail line even came through the village. Over time, the wheel of fortune changed, and Hind outlined the story with an attention to the people who lived it.
Fans of ghost towns may know of Ron Brown’s books, an historian and author that Hind admits is a pillar of ghost town studies in Ontario. Hind has a great respect for Brown’s research and writing, and for bringing a lot of attention to the subject.
However, he also felt there were more stories to be told. Brown’s books tend to include very brief sketches on each town – sometimes a page or two long. Hind felt that he could dig deeper into the human story and provide a more complete picture of the places being erased by the hands of time.
“A lot of it starts with the photos,” he explained. For instance, there was a photo of some people haying a field in Desaulniers and with the help of the museum in Sturgeon Falls, he was able to learn the name of some of the descendants.
He was able to find contact information for some of them, and he reached out to learn more about the history. Eventually, with enough calls and research, another chapter is completed.
“That’s the most important part of the process,” Hind said. “It’s easy to get names and records” from newspapers and old ledgers, “but to add any sort of personality or interesting anecdote” requires the personal touch.
With all stories passed down the line, one must watch for embellishments or exaggerations, so Hind is always sure to consult as many sources as possible to ensure an accurate depiction of his subject.
“Communities are changing all of the time,” Hind noted. He’s researched over 100 towns that have “faded away,” and his studies remind him of the importance of preserving these periods of our history. Today, a highway can by-pass a small village and have a devastating effect. Same if a large employee closes production in a smaller town.
“Change is an inevitability,” Hinds said, and after years of writing about people and places lost to time – places once thriving – he has gained a unique perspective on the power and effects change has.
For those interested, Hind’s book is on sale at the major online sellers, and you can follow him on Twitter at @DiscoveriesAM. Curious about Desaulniers? Take a ride to Field via Highway 17 and head West on Highway 539 for seven kilometers to reach Desaulniers Road. Be sure to pack Hind’s book for the trip.
David Briggs is a Local Journalism Initiative reporter who works out of BayToday, a publication of Village Media. The Local Journalism Initiative is funded by the Government of Canada.
Hind’s ghost town history brings to light West Nipissing stories
Authors latest book includes tales of Desaulniers, near Sturgeon Falls
Source : David Briggs, Local Journalism Initiative reporter
Jun 1, 2023 1:00 PM
Listen to this article. 00:04:54
Andrew Hind’s latest book brings to light a host of stories of forgotten and fading places, and he’s dedicated a chapter to the village of Desaulniers, northwest of Field, in West Nipissing. For fans of local history and ghost towns, Hind may already be on your shelf. He’s written over 30 books, most of which focus on aspects of Ontario’s history.
Earlier this month, Hind’s newest was released by Dundurn Press. Ghost Towns of Ontario’s Cottage Country details stories from 14 towns within Muskoka, Haliburton, and the Parry Sound, Nipissing, and Temiskaming Districts.
He’s no stranger to the subject, having written extensively about ghost towns and what he refers to as “faded communities” throughout our province. However, although he’s told many stories of ghost towns, he’s also written about haunted places, the old resorts and steamships of Muskoka and other aspects of local history.
His latest book highlights the vanished villages “that once prospered in the North.” The village of Desaulniers was perfect for the book, Hind noted, because once it was thriving, complete with “bustling main street,” but over time fell into a downward spiral.
Today, not much remains, save for one old building. However, after reading Hind’s book, one can see where the old sites stood, including the mill, the church – which itself caused great controversy in the village – to the general store. All of which have been lost to time, although Hind’s book preserves what remains of the ghost village.
He explained how he goes about saving these stories, and for him, the best way to find information is to talk with those who know. He spent some fine hours chatting with some of the relatives of those who first broke ground in Desaulniers.
Hind mentioned the Serre Family were one of the first in the area, then “a wave of eager settlers” came in the early 1890s. His chapter mentioned the Joanis family, the Courchesne’s, the Bigra’s, the Vallieres’ the Quenneville’s and others who farmed and worked the land.
“It was a difficult life at first,” Hind noted, but eventually things picked up and a rail line even came through the village. Over time, the wheel of fortune changed, and Hind outlined the story with an attention to the people who lived it.
Fans of ghost towns may know of Ron Brown’s books, an historian and author that Hind admits is a pillar of ghost town studies in Ontario. Hind has a great respect for Brown’s research and writing, and for bringing a lot of attention to the subject.
However, he also felt there were more stories to be told. Brown’s books tend to include very brief sketches on each town – sometimes a page or two long. Hind felt that he could dig deeper into the human story and provide a more complete picture of the places being erased by the hands of time.
“A lot of it starts with the photos,” he explained. For instance, there was a photo of some people haying a field in Desaulniers and with the help of the museum in Sturgeon Falls, he was able to learn the name of some of the descendants.
He was able to find contact information for some of them, and he reached out to learn more about the history. Eventually, with enough calls and research, another chapter is completed.
“That’s the most important part of the process,” Hind said. “It’s easy to get names and records” from newspapers and old ledgers, “but to add any sort of personality or interesting anecdote” requires the personal touch.
With all stories passed down the line, one must watch for embellishments or exaggerations, so Hind is always sure to consult as many sources as possible to ensure an accurate depiction of his subject.
“Communities are changing all of the time,” Hind noted. He’s researched over 100 towns that have “faded away,” and his studies remind him of the importance of preserving these periods of our history. Today, a highway can by-pass a small village and have a devastating effect. Same if a large employee closes production in a smaller town.
“Change is an inevitability,” Hinds said, and after years of writing about people and places lost to time – places once thriving – he has gained a unique perspective on the power and effects change has.
For those interested, Hind’s book is on sale at the major online sellers, and you can follow him on Twitter at @DiscoveriesAM. Curious about Desaulniers? Take a ride to Field via Highway 17 and head West on Highway 539 for seven kilometers to reach Desaulniers Road. Be sure to pack Hind’s book for the trip.
David Briggs is a Local Journalism Initiative reporter who works out of BayToday, a publication of Village Media. The Local Journalism Initiative is funded by the Government of Canada.
Desaulniers
résumé et traduction d'un texte de Wayne F. LeBelle,
West Nipissing Ouest, 955 A.D. - 1998
M. A.-L. Desaulniers, premier curé résident, 1895
Verner et Lafontaine, La Société historique du Nouvel Ontario, 1945
Verner et Lafontaine, La Société historique du Nouvel Ontario, 1945
L'étonnante histoire de l'église qui ne fut jamais
Desaulniers a été fondé par les familles canadiennes françaises du Québec qui étaient de fervents catholiques. L'histoire de Ste-Anne de Desaulniers, l'église qui n'a jamais existée de façon officielle, est plutôt intéressante. Les premiers colons ont construit une église, aux alentours de 1915, qui était munie d'un hôtel, d'un confessionnal, d'une grosse statue de Sainte-Anne et d'un clocher. Mais la cloche de l'église n'a jamais sonné pour convier à la prières les fidèles de cette petite communauté. Abandonnée, la petite église a été démolie au début des années '50. Plusieurs vieillards de Desnaulniers se souviennent être allés "jouer à la messe" et avoir "entendu des confessions" dans cette église abandonnée qui était située tout près du chemin Giroux Vézina en direction Est de Desaulniers. Bien que l'église ait été utilisée pour des réunions pendants plusieurs années, elle n'a jamais été officiellement bénie et reconnue par le diocèse.
Une résidente âgé se souvient que l'Évèque Scollard avait dit que "l'église avait été construite sans sa permission et qu'elle ne deviendrait jamais officielle tant et autant qu'il aurait un oeil ouvert"! Selon ses souvenirs, beaucoup de gens ont prié pour que les "deux yeux de l'Évèque Scollard ferment le plus tôt possible"! Ferdinand Serré de Desaulniers se souvient que la mésentente au sujet de l'église était due au fait que le diocèse voulait être propriétaire de l'église et des terrains environnants, mais que les colons qui l'avaient construit à la sueur de leur front refusaient d'en céder la propriété.
Roger Lafond, un historien de Field, raconte que Monseigneur D.J. Scollard a officiellement ouvert l'église le 11 septembre 1916, mais sans la bénir! La première messe a été célébrée le lundi 25 septembre 1916 par le Révérend L.P. Thériault, curé de la paroisse voisine de Field. Le 29 juillet 1917, la statue de Sainte-Anne a été bénie, mais toujours pas l'église!
Il y a encore beaucoup de ressentiment au sujet de cette église de campagne à Desaulniers. Il y a aussi beaucoup d'histoires au sujet de la rivalité entre paroisses du coin. Par exemple, on parle encore d'un prêtre qui a dû marcher jusqu'à Field dans le froid alors que deux résidents locaux se disputaient au sujet de l'église. Les histoires continuent.....
Desaulniers a été fondé par les familles canadiennes françaises du Québec qui étaient de fervents catholiques. L'histoire de Ste-Anne de Desaulniers, l'église qui n'a jamais existée de façon officielle, est plutôt intéressante. Les premiers colons ont construit une église, aux alentours de 1915, qui était munie d'un hôtel, d'un confessionnal, d'une grosse statue de Sainte-Anne et d'un clocher. Mais la cloche de l'église n'a jamais sonné pour convier à la prières les fidèles de cette petite communauté. Abandonnée, la petite église a été démolie au début des années '50. Plusieurs vieillards de Desnaulniers se souviennent être allés "jouer à la messe" et avoir "entendu des confessions" dans cette église abandonnée qui était située tout près du chemin Giroux Vézina en direction Est de Desaulniers. Bien que l'église ait été utilisée pour des réunions pendants plusieurs années, elle n'a jamais été officiellement bénie et reconnue par le diocèse.
Une résidente âgé se souvient que l'Évèque Scollard avait dit que "l'église avait été construite sans sa permission et qu'elle ne deviendrait jamais officielle tant et autant qu'il aurait un oeil ouvert"! Selon ses souvenirs, beaucoup de gens ont prié pour que les "deux yeux de l'Évèque Scollard ferment le plus tôt possible"! Ferdinand Serré de Desaulniers se souvient que la mésentente au sujet de l'église était due au fait que le diocèse voulait être propriétaire de l'église et des terrains environnants, mais que les colons qui l'avaient construit à la sueur de leur front refusaient d'en céder la propriété.
Roger Lafond, un historien de Field, raconte que Monseigneur D.J. Scollard a officiellement ouvert l'église le 11 septembre 1916, mais sans la bénir! La première messe a été célébrée le lundi 25 septembre 1916 par le Révérend L.P. Thériault, curé de la paroisse voisine de Field. Le 29 juillet 1917, la statue de Sainte-Anne a été bénie, mais toujours pas l'église!
Il y a encore beaucoup de ressentiment au sujet de cette église de campagne à Desaulniers. Il y a aussi beaucoup d'histoires au sujet de la rivalité entre paroisses du coin. Par exemple, on parle encore d'un prêtre qui a dû marcher jusqu'à Field dans le froid alors que deux résidents locaux se disputaient au sujet de l'église. Les histoires continuent.....
Desaulniers
Source : Ontario Abandoned Places
La colonisation
Le village de Desaulniers a été fondé dans le Comté de Gibbons par le Révérend Desaulniers et ce, avant que Field ne se développe en tant que communauté. Desaulniers avait sa propre gare, plusieurs moulins à scie et un magasin général. Les familles gagnaient leur vie en travaillant comme bûcherons pendant l'hiver et comme cultivateur durant l'été.
Parmi les premières familles de Desaulniers, on retrouve des Quenneville, Courchesne, Trépannier, Serré et Tanguay. D'autres familles se sont ajoutées, par exemple les Bigras, Vallières, Léger, Gervais, Lalonde, Larivière, Taillefer, St-Louis, Larcher, Pigeau, Milks, Laplante, Leduc, Gauthier, Rochon et Aubin.
Le village de Desaulniers a été fondé dans le Comté de Gibbons par le Révérend Desaulniers et ce, avant que Field ne se développe en tant que communauté. Desaulniers avait sa propre gare, plusieurs moulins à scie et un magasin général. Les familles gagnaient leur vie en travaillant comme bûcherons pendant l'hiver et comme cultivateur durant l'été.
Parmi les premières familles de Desaulniers, on retrouve des Quenneville, Courchesne, Trépannier, Serré et Tanguay. D'autres familles se sont ajoutées, par exemple les Bigras, Vallières, Léger, Gervais, Lalonde, Larivière, Taillefer, St-Louis, Larcher, Pigeau, Milks, Laplante, Leduc, Gauthier, Rochon et Aubin.
1946-1948 L'École no 1 Desaulniers-Gibbons
1-4 année
Institutrice : Adrienne Major
1ère rangée (gauche à droite): Pauline Serré, Jeannine Remillard, Gilberte Trépanier, Gisèle Trépanier, Claudette Loiselle, Réjeanne Laplante, Jacques Bertrand, René Aubin, Michel Piquette
2e rangée (gauche à droite): Lorraine St-Aubin, Annette St-Aubin, Raymonde Trépanier, Véronique Rochon, Guy Berthelot, Jean-Claude Remillard, Michel Piquette, Ubald Serré
3e rangée (gauche à droite): Jacques Berthelot, Rémi Leduc, Hector Bertrand, Pauline St-Aubin, Bernadette Serré, Édouard Loiselle, Gaëtan Serré, Philippe Guérin
4e rangée (gauche à droite): Hélène Laplante, Violette Rochon, Bibiane Laplante, Gérald Larcher, Laurier Bertrand, Cyrille Guérin, Raymond Larcher
1-4 année
Institutrice : Adrienne Major
1ère rangée (gauche à droite): Pauline Serré, Jeannine Remillard, Gilberte Trépanier, Gisèle Trépanier, Claudette Loiselle, Réjeanne Laplante, Jacques Bertrand, René Aubin, Michel Piquette
2e rangée (gauche à droite): Lorraine St-Aubin, Annette St-Aubin, Raymonde Trépanier, Véronique Rochon, Guy Berthelot, Jean-Claude Remillard, Michel Piquette, Ubald Serré
3e rangée (gauche à droite): Jacques Berthelot, Rémi Leduc, Hector Bertrand, Pauline St-Aubin, Bernadette Serré, Édouard Loiselle, Gaëtan Serré, Philippe Guérin
4e rangée (gauche à droite): Hélène Laplante, Violette Rochon, Bibiane Laplante, Gérald Larcher, Laurier Bertrand, Cyrille Guérin, Raymond Larcher