Guy Coulombe, artiste, sculpteur
Article paru à la Galerie d'Arts "Expressions!", le 15 novembre 2002, pour le lancement de son année comme artiste vedette à cette même galerie. Auteur inconnu.
C'est une crise cardiaque qui précipita la carrière artistique de Guy Coulombe, qui fleurit depuis déjà vingt ans.
Guy Yves Coulombe est le sixième de sept enfants provenant de l'union de Docteur Paul Olivier Coulombe et sa femme Léona Pilon de Verner. Né le 2 javier 1930, Guy suit cinq soeurs pour se trouver l'aîné de deux garçons. Sa mère est décédée du cancer à l'âge de 50 ans, lorsque Guy n'avait que huit ans. Une loyauté tenace qui avoue l'importance e la famille et du foyer, ce qui est si évidente dans ses oeuvres, germe certainement de cette perte irremplaçable.
Guy fréquente l'école Saint Joseph et Sturgeon Falls High School, avant d'étudier le génie pour un an à l'Université d'Ottawa. Il épousa Gisèle Guindon de Sturgeon Falls en 1958, et produit sans tarder deux filles, Marie et Brigitte. Il travaille comme comptable à Sudbury, pour le CNR (Canadian National Railway) à Capréol et en génie civil avec MTC (Ministry of Transportation and Communications) à North Bay, d'où il prend sa retraite en 1990. Durant ses heures de loisirs, il se régale avec sa petite famille à chanter et à jouer de la musique, sa belle voix accompagnant le piano ou la guitare.
Un cadeau opportun d'une boîte à peinture, lors de sa crise cardiaque en 1982, naît en lui un désir de s'exprimer dans le domaine des arts visuels. Le moment saisi, Guy commença un trajet qui le mènera loin.
Tout ce qu'il lui fallait, il le trouva dans les environs. La beauté rugueuse de la région l'inspire et les connaissances nécessaires lui sont accessibles lors des classes avec Soeur Maria Desmarais, qui le conseilla sur les techniques de la peinture à l, huile pendant sept ans. Diane Deschatelets offre des cours de sculpture de bois, dont il jouit pour dix ans de suite. L'aquarelle s'apprend dans les classes offertes par Soeur Rachel Labonté.
Les thèmes qui résonnent dans son travail sont ceux de la famille, de l'esprit du lieu, de la faune (particulièrement l'étude des oiseaux). Ces mêmes attachements sont évident dans sa vie quotidienne: depuis 32 ans, il habite avec sa femme la même maison qui n'est que quelques pas de la porte de sa fille Brigitte. Une petite ménagerie de chiens et de chats partagent ces deux domiciles. Son dévouement envers ses deux petit-fils, sa fille Marie et son époux Pierre Leblanc (originaire de Field) de Buckingham, près d'Ottawa, se manifeste dans tous les coins de chez-lui, malgré la distance qui les sépare. Chez Guy, on trouve une galerie intime de ses oeuvres, qui décorent les murs du plancher au plafond. Son studio au sous-sol offre un simple banc, une lumière bien posée et un éventail pour circuler l'air; d'immenses chevalets supportent la grande quantité de travaux complétés.
Son style est méticuleux, virant sur le naïf et démontre une précision de détail et de texture.; Ses portraits évoquent des visages doux et arrondis par des coups de pinceaux caressants. Guy Coulombe semble capturer notre humanité de façon tangible, avec une appréciation sincère pour la fragilité de l'homme dans son milieu si vaste de ciel et de terre.
PS Guy Coulombe est décédé en février 2003, à l'âge de 73 ans.
Guy Yves Coulombe est le sixième de sept enfants provenant de l'union de Docteur Paul Olivier Coulombe et sa femme Léona Pilon de Verner. Né le 2 javier 1930, Guy suit cinq soeurs pour se trouver l'aîné de deux garçons. Sa mère est décédée du cancer à l'âge de 50 ans, lorsque Guy n'avait que huit ans. Une loyauté tenace qui avoue l'importance e la famille et du foyer, ce qui est si évidente dans ses oeuvres, germe certainement de cette perte irremplaçable.
Guy fréquente l'école Saint Joseph et Sturgeon Falls High School, avant d'étudier le génie pour un an à l'Université d'Ottawa. Il épousa Gisèle Guindon de Sturgeon Falls en 1958, et produit sans tarder deux filles, Marie et Brigitte. Il travaille comme comptable à Sudbury, pour le CNR (Canadian National Railway) à Capréol et en génie civil avec MTC (Ministry of Transportation and Communications) à North Bay, d'où il prend sa retraite en 1990. Durant ses heures de loisirs, il se régale avec sa petite famille à chanter et à jouer de la musique, sa belle voix accompagnant le piano ou la guitare.
Un cadeau opportun d'une boîte à peinture, lors de sa crise cardiaque en 1982, naît en lui un désir de s'exprimer dans le domaine des arts visuels. Le moment saisi, Guy commença un trajet qui le mènera loin.
Tout ce qu'il lui fallait, il le trouva dans les environs. La beauté rugueuse de la région l'inspire et les connaissances nécessaires lui sont accessibles lors des classes avec Soeur Maria Desmarais, qui le conseilla sur les techniques de la peinture à l, huile pendant sept ans. Diane Deschatelets offre des cours de sculpture de bois, dont il jouit pour dix ans de suite. L'aquarelle s'apprend dans les classes offertes par Soeur Rachel Labonté.
Les thèmes qui résonnent dans son travail sont ceux de la famille, de l'esprit du lieu, de la faune (particulièrement l'étude des oiseaux). Ces mêmes attachements sont évident dans sa vie quotidienne: depuis 32 ans, il habite avec sa femme la même maison qui n'est que quelques pas de la porte de sa fille Brigitte. Une petite ménagerie de chiens et de chats partagent ces deux domiciles. Son dévouement envers ses deux petit-fils, sa fille Marie et son époux Pierre Leblanc (originaire de Field) de Buckingham, près d'Ottawa, se manifeste dans tous les coins de chez-lui, malgré la distance qui les sépare. Chez Guy, on trouve une galerie intime de ses oeuvres, qui décorent les murs du plancher au plafond. Son studio au sous-sol offre un simple banc, une lumière bien posée et un éventail pour circuler l'air; d'immenses chevalets supportent la grande quantité de travaux complétés.
Son style est méticuleux, virant sur le naïf et démontre une précision de détail et de texture.; Ses portraits évoquent des visages doux et arrondis par des coups de pinceaux caressants. Guy Coulombe semble capturer notre humanité de façon tangible, avec une appréciation sincère pour la fragilité de l'homme dans son milieu si vaste de ciel et de terre.
PS Guy Coulombe est décédé en février 2003, à l'âge de 73 ans.