Journée internationale de la femme – « La poursuite de la vérité » depuis plus de 30 ans
GENDARMERIE ROYALE DU CANADA - DIVISION NATIONALE·WEDNESDAY, MARCH 8, 2017
Entrevue avec une surintendante de la GRC
GENDARMERIE ROYALE DU CANADA - DIVISION NATIONALE·WEDNESDAY, MARCH 8, 2017
Entrevue avec une surintendante de la GRC

Pourquoi avez-vous choisi de devenir policière? À partir du moment où nous avons commencé à parler de carrières à l’école, quand j’avais environ 13 ans, j’ai su que je souhaitais devenir avocate ou policière. Le domaine du droit me fascinait parce qu’il permettait de disséquer les éléments d’un terme ou d’une action, et aussi à cause du respect que ce domaine suscitait.
Bon nombre de policiers se joignent à nos rangs parce qu’ils souhaitent aider les gens, mais dans mon cas, c’était en grande partie parce que j’aimais le processus d’enquête et ce que j’appelle « la poursuite », c’est-à-dire se lancer à la poursuite des malfaiteurs (les « méchants »), arrêter les transgresseurs et découvrir la vérité. Plus de 30 ans plus tard, j’aime encore la poursuite.
Et pourquoi à la GRC? L’influence de mon père y est certainement pour quelque chose... Lorsque j’ai choisi de devenir policière, il m’a dit qu’il fallait que ce soit à la GRC, car « ils étaient les meilleurs » :)
De plus, à l’université, j’ai eu la chance de participer à deux placements au sein de la GRC et de me familiariser avec l’organisation et son vaste éventail de programmes et de services dans l’ensemble du pays et à travers le monde.
Quel est l’aspect de votre travail qui vous plaît le plus?
La diversité du travail, les endroits où nous exerçons notre profession et le rythme de nos activités. Qu’il s’agisse de travail administratif ou opérationnel, de planification stratégique ou de travail policier de nature tactique, mes jours et mes nuits n’ont rien d’ennuyeux. J’occupe actuellement un poste de direction, mais je continue d’exercer des fonctions en tant que commandante des interventions critiques et d’agente de sécurité préventive.
Quelle est l’une de vos anecdotes préférées ou l’un de vos meilleurs souvenirs? J’ai beaucoup d’anecdotes, surtout parce que je me suis plutôt démarquée en tant qu’instructrice d’exercice... J’ai instruit plus de 1 200 membres. J’étais sévère, j’avais une voix qui résonnait jusque sur le terrain de golf adjacent, ma tenue était toujours impeccable... mais j’avais aussi des expressions plutôt drôles dont certains membres se souviennent encore 15 ans plus tard.
Bon nombre de policiers se joignent à nos rangs parce qu’ils souhaitent aider les gens, mais dans mon cas, c’était en grande partie parce que j’aimais le processus d’enquête et ce que j’appelle « la poursuite », c’est-à-dire se lancer à la poursuite des malfaiteurs (les « méchants »), arrêter les transgresseurs et découvrir la vérité. Plus de 30 ans plus tard, j’aime encore la poursuite.
Et pourquoi à la GRC? L’influence de mon père y est certainement pour quelque chose... Lorsque j’ai choisi de devenir policière, il m’a dit qu’il fallait que ce soit à la GRC, car « ils étaient les meilleurs » :)
De plus, à l’université, j’ai eu la chance de participer à deux placements au sein de la GRC et de me familiariser avec l’organisation et son vaste éventail de programmes et de services dans l’ensemble du pays et à travers le monde.
Quel est l’aspect de votre travail qui vous plaît le plus?
La diversité du travail, les endroits où nous exerçons notre profession et le rythme de nos activités. Qu’il s’agisse de travail administratif ou opérationnel, de planification stratégique ou de travail policier de nature tactique, mes jours et mes nuits n’ont rien d’ennuyeux. J’occupe actuellement un poste de direction, mais je continue d’exercer des fonctions en tant que commandante des interventions critiques et d’agente de sécurité préventive.
Quelle est l’une de vos anecdotes préférées ou l’un de vos meilleurs souvenirs? J’ai beaucoup d’anecdotes, surtout parce que je me suis plutôt démarquée en tant qu’instructrice d’exercice... J’ai instruit plus de 1 200 membres. J’étais sévère, j’avais une voix qui résonnait jusque sur le terrain de golf adjacent, ma tenue était toujours impeccable... mais j’avais aussi des expressions plutôt drôles dont certains membres se souviennent encore 15 ans plus tard.