Jour du Souvenir 2023
Honneur à nos vétérans du Nipissing Ouest :
Germain Beaudry, Lionel Davidson, Henri Lavoie,
Richard Gallagher, Gérard "Pit" Laflèche
Sur cette page vous trouverez de l'info intéressante de ces vétérans qui ont vécu parmi nous.
SVP contacter rayechamp@gmail.com si vous voulez partager l'histoire d'un vétéran du Nipissing Ouest est allé en guerre en Europe (Première (1914-1918) et Deuxième (1939-1945) grandes guerres, ou en Corée (1950-1953), ou en Bosnie herzégovine (1992-1995), ou en Afghanistan (mission canadienne de 2001 à 2014), ou autre.
mise en page : Raymonde Gaudette
Germain Beaudry, Lionel Davidson, Henri Lavoie,
Richard Gallagher, Gérard "Pit" Laflèche
Sur cette page vous trouverez de l'info intéressante de ces vétérans qui ont vécu parmi nous.
SVP contacter rayechamp@gmail.com si vous voulez partager l'histoire d'un vétéran du Nipissing Ouest est allé en guerre en Europe (Première (1914-1918) et Deuxième (1939-1945) grandes guerres, ou en Corée (1950-1953), ou en Bosnie herzégovine (1992-1995), ou en Afghanistan (mission canadienne de 2001 à 2014), ou autre.
mise en page : Raymonde Gaudette
Source
Le 24 février 2022, la Russie envahit l'Ukraine, déclenchant du même coup une escalade de la guerre russe-ukraine commencée en 2014. L'invasion est la plus grande attaque d'un pays sur un autre pays d'Europe depuis la 2e Grande Guerre. À l'heure actuelle, on compte des dizaines de milliers victimes civils ukrainiens et des centaines de milliers de victimes militaires.
La guerre Israël-Hamas de 2023 est une guerre opposant l'état d'Israël au Hamas et d’autres milices palestiniennes depuis le 7 octobre 2023.
Le conflit menace de s'étendre dans la région avec les tirs du Hezbollah depuis le Liban, entraînant une riposte israélienne39, puis l'évacuation massive des zones frontalières dans les deux pays40,41. L'envoi dans la région de deux porte-avions américains42, la menace de l'Iran de frapper directement les intérêts américains43,44,45 et l’intervention des Houthis yéménites par le biais de tirs de missiles et l’envoi de drones46,47, font craindre son internationalisation. Pour la première fois depuis la fin de la deuxième grande guerre, (donc depuis 70 ans,) on parle sérieusement d'une grave possibilité de la troisième guerre mondiale.(Source : Wlkipaedia)
Les nouvelles dans les journaux, et sur les medias sociaux, nous montrent la guerre dans toute sa laideur. Malgré tous ces reportages qui défilent devant nos yeux , pour comprendre le caractère absolu de la guerre, il faut vraisembablement être au milieu du conflit. Je m’incline devant l’expérience des soldats d’hier et d’aujourd’hui mais du même coup je lance un appel à l”humanité entière: laissons nos différences de côté et imprégnons-nous de cette prière de St François d’Assise: “Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix : Là où il y a de la haine, que je mette l'amour, Là où il y a l'offense, que je mette le pardon…” Parallèlement, ce sera la mort des guerres de toutes les sortes, même celles que l'on porte en son for intérieur.
Raymonde Gaudette
Le 24 février 2022, la Russie envahit l'Ukraine, déclenchant du même coup une escalade de la guerre russe-ukraine commencée en 2014. L'invasion est la plus grande attaque d'un pays sur un autre pays d'Europe depuis la 2e Grande Guerre. À l'heure actuelle, on compte des dizaines de milliers victimes civils ukrainiens et des centaines de milliers de victimes militaires.
La guerre Israël-Hamas de 2023 est une guerre opposant l'état d'Israël au Hamas et d’autres milices palestiniennes depuis le 7 octobre 2023.
Le conflit menace de s'étendre dans la région avec les tirs du Hezbollah depuis le Liban, entraînant une riposte israélienne39, puis l'évacuation massive des zones frontalières dans les deux pays40,41. L'envoi dans la région de deux porte-avions américains42, la menace de l'Iran de frapper directement les intérêts américains43,44,45 et l’intervention des Houthis yéménites par le biais de tirs de missiles et l’envoi de drones46,47, font craindre son internationalisation. Pour la première fois depuis la fin de la deuxième grande guerre, (donc depuis 70 ans,) on parle sérieusement d'une grave possibilité de la troisième guerre mondiale.(Source : Wlkipaedia)
Les nouvelles dans les journaux, et sur les medias sociaux, nous montrent la guerre dans toute sa laideur. Malgré tous ces reportages qui défilent devant nos yeux , pour comprendre le caractère absolu de la guerre, il faut vraisembablement être au milieu du conflit. Je m’incline devant l’expérience des soldats d’hier et d’aujourd’hui mais du même coup je lance un appel à l”humanité entière: laissons nos différences de côté et imprégnons-nous de cette prière de St François d’Assise: “Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix : Là où il y a de la haine, que je mette l'amour, Là où il y a l'offense, que je mette le pardon…” Parallèlement, ce sera la mort des guerres de toutes les sortes, même celles que l'on porte en son for intérieur.
Raymonde Gaudette
Honneur à nos vétérans du Nipissing Ouest :
Germain Beaudry 1916-1987
Ce petit livre de 14 pages intitulé « B-606464 et La Conscription du 28 août 1940 (Germain Beaudry 1916-1987) » se veut un regard sur l’histoire d’un des nombreux soldats franco-ontariens tout en décrivant son cheminement personnel dans cette période historique ou c’était essentiel de développer le goût du risque, l’esprit de compétition, le sens de l’honneur, la hardiesse et le courage.

Ce livre vous intéresse? Vous avez des questions ou commentaires à adresser à Nicole? Lui faire parvenir un courriel à l'adresse suivante : nicorich@persona.ca
Lionel Davidson (1924-2021)
Article parue dans Le Chaînon, automne 2018, auteurs Pierre LeRiche et Lionel Davidson
Article parue dans Le Chaînon, automne 2018, auteurs Pierre LeRiche et Lionel Davidson
Jour du souvenir: l’origine des coquelicots rouges et coquelicots blancs
Référence http://journalmetro.com/actualites/national/871739/jour-du-souvenir-lorigine-des-coquelicots-rouges-et-blancs/
Le symbole du coquelicot rouge qu’on porte le 11 novembre tire son origine du poème anglais «In Flanders Fields» («Au champ d’honneur»). Il a été rédigé par John McCrae, médecin et professeur canadien qui a participé à la Première Guerre mondiale.
Le texte fut écrit peu de temps après le sanglant baptême par le feu de la première Division canadienne au front ouest en avril 1915. L’Ontarien se trouvait dans les tranchées d’Ypres en Belgique. La région a été la scène des combats les plus sanglants du conflit. John McCrae a soigné des centaines de soldats blessés chaque jour. Il était entouré de morts et d’agonisants. La veille de la composition de son poème, il perd au cours des combats un de ses meilleurs amis qui fut inhumé dans une tombe de fortune marquée d’une simple croix de bois. Les coquelicots sauvages commençaient à fleurir à travers ces croix. Incapable de porter secours à cet ami ni à aucun autre soldat tombé au champ, John McCrae se fit leur porte-parole dans son poème.
Il décède à l’hôpital militaire britannique de Wimereux en 1918 des suites d’une pneumonie et d’une méningite à l’âge de 45 ans.
(Source: gouvernement du Canada
Le symbole du coquelicot rouge qu’on porte le 11 novembre tire son origine du poème anglais «In Flanders Fields» («Au champ d’honneur»). Il a été rédigé par John McCrae, médecin et professeur canadien qui a participé à la Première Guerre mondiale.
Le texte fut écrit peu de temps après le sanglant baptême par le feu de la première Division canadienne au front ouest en avril 1915. L’Ontarien se trouvait dans les tranchées d’Ypres en Belgique. La région a été la scène des combats les plus sanglants du conflit. John McCrae a soigné des centaines de soldats blessés chaque jour. Il était entouré de morts et d’agonisants. La veille de la composition de son poème, il perd au cours des combats un de ses meilleurs amis qui fut inhumé dans une tombe de fortune marquée d’une simple croix de bois. Les coquelicots sauvages commençaient à fleurir à travers ces croix. Incapable de porter secours à cet ami ni à aucun autre soldat tombé au champ, John McCrae se fit leur porte-parole dans son poème.
Il décède à l’hôpital militaire britannique de Wimereux en 1918 des suites d’une pneumonie et d’une méningite à l’âge de 45 ans.
(Source: gouvernement du Canada
Référence: http://echecalaguerre.org/agir/campagnes-du-coquelicot-blanc/
Histoire du coquelicot blanc
La première campagne du coquelicot blanc fut lancée en Angleterre, en novembre 1933, par la Co-operative Women’s Guild (CWG). Cette organisation – composée de mères, de sœurs, de veuves et d’amoureuses d’hommes tués lors de la Première Guerre mondiale – menait un travail d’éducation sur les conditions socio- économiques et politiques favorisant la montée de la guerre et s’opposait activement au commerce des armes. Par sa campagne, la CWG voulait non seulement commémorer toutes les victimes de la guerre, mais également proclamer son rejet de la guerre et se dissocier des commémorations faisant subtilement l’apologie de la force militaire.
Dès 1934, l’initiative de la CWG fut appuyée par un nouveau mouvement pacifiste en Grande-Bretagne, le Peace Pledge Union qui prit dès lors en charge, jusqu’à aujourd’hui, la production et la vente des coquelicots blancs.
De nos jours, la campagne du coquelicot rouge et les cérémonies officielles de commémoration semblent oublier ce qui constitue le principal fléau des guerres contemporaines : les victimes civiles tellement plus nombreuses que les victimes militaires. Nous savons que les guerres du 20e siècle ont causé la mort de plus de 200 millions de personnes, majoritairement des femmes et des enfants, sans parler des blessures physiques et psychologiques, des réfugié-e-s et de toutes les destructions.
Hier au Kosovo, en Afghanistan et en Libye, aujourd’hui en Irak, en Syrie ou en Ukraine, le Canada est de plus en plus partie prenante d’interventions militaires menées à l’encontre du droit international. En 2015, l’afflux en Europe d’une partie seulement des millions de réfugié.e.s fuyant les guerres en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie a révélé au grand jour certaines des conséquences effroyables de ces guerres, trop souvent occultées.
En solidarité avec toutes les victimes des guerres, dont les millions de réfugié.e.s actuels, et en signe d’opposition à la politique militariste du Canada, le Collectif Échec à la guerre invite la population, à l’occasion du Jour du Souvenir, à porter le coquelicot blanc.
Histoire du coquelicot blanc
La première campagne du coquelicot blanc fut lancée en Angleterre, en novembre 1933, par la Co-operative Women’s Guild (CWG). Cette organisation – composée de mères, de sœurs, de veuves et d’amoureuses d’hommes tués lors de la Première Guerre mondiale – menait un travail d’éducation sur les conditions socio- économiques et politiques favorisant la montée de la guerre et s’opposait activement au commerce des armes. Par sa campagne, la CWG voulait non seulement commémorer toutes les victimes de la guerre, mais également proclamer son rejet de la guerre et se dissocier des commémorations faisant subtilement l’apologie de la force militaire.
Dès 1934, l’initiative de la CWG fut appuyée par un nouveau mouvement pacifiste en Grande-Bretagne, le Peace Pledge Union qui prit dès lors en charge, jusqu’à aujourd’hui, la production et la vente des coquelicots blancs.
De nos jours, la campagne du coquelicot rouge et les cérémonies officielles de commémoration semblent oublier ce qui constitue le principal fléau des guerres contemporaines : les victimes civiles tellement plus nombreuses que les victimes militaires. Nous savons que les guerres du 20e siècle ont causé la mort de plus de 200 millions de personnes, majoritairement des femmes et des enfants, sans parler des blessures physiques et psychologiques, des réfugié-e-s et de toutes les destructions.
Hier au Kosovo, en Afghanistan et en Libye, aujourd’hui en Irak, en Syrie ou en Ukraine, le Canada est de plus en plus partie prenante d’interventions militaires menées à l’encontre du droit international. En 2015, l’afflux en Europe d’une partie seulement des millions de réfugié.e.s fuyant les guerres en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie a révélé au grand jour certaines des conséquences effroyables de ces guerres, trop souvent occultées.
En solidarité avec toutes les victimes des guerres, dont les millions de réfugié.e.s actuels, et en signe d’opposition à la politique militariste du Canada, le Collectif Échec à la guerre invite la population, à l’occasion du Jour du Souvenir, à porter le coquelicot blanc.
Honneur à nos vétérans de Nipissing Ouest
Rendre honneur et reconnaitre nos anciens combattants / vétérans tout en préservant un sentiment de reconnaissance et de loyauté envers eux devrait faire partie de notre quotidien; mais trop souvent, ils sont relégués aux oubliettes. En cette semaine des vétérans, prenons le temps de se souvenir d'eux. Pour ma part, je vous propose de visiter le site suivant (Anciens combattants du Canada):
http://www.veterans.gc.ca/fra/remembrance/get-involved/remembrance-day
où vous trouverez une multitude d'information, d'activités et de videos, etc. toutes aussi informatives que super intéressantes. Enfin, et je cite ce qui est écrit sur une page de ce siteweb: "N'oubliez jamais les contributions et les sacrifices des hommes et des femmes qui ont servi le Canada en temps de guerre, de conflit militaire ou de paix, tout spécialement ceux et celles qui ne sont jamais revenus."
Voici deux vétérans de Nipissing Ouest, Henri Lavoie et Richard "Dick" Gallagher.
Le premier vétéran Henri Lavoie (PREMIÈRE GRANDE GUERRE) est le père de Fernande (Lavoie) Beaudry. Merci à Fernande qui a généreusement partager la video que son neveu a créé contenant les documents d'Henri Lavoie , vétéran de la Première Guerre Mondiale.
Le premier vétéran Henri Lavoie (PREMIÈRE GRANDE GUERRE) est le père de Fernande (Lavoie) Beaudry. Merci à Fernande qui a généreusement partager la video que son neveu a créé contenant les documents d'Henri Lavoie , vétéran de la Première Guerre Mondiale.