Jour du Souvenir 2018
À travers le monde, les cérémonies du jour du Souvenir permettent à ses participants de célébrer le 100e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, qui a eu lieu de 1914 à 1918. Il est très important qu'au moins une fois par année, on prenne le temps de se recueillir pour remercier tous ces hommes et ces femmes qui se sont sacrifiés et ont même donné leur vie pour que nous vivions dans un pays libre.
Le Nipissing Ouest veut se souvenir de ces personnes. À partir du 7 novembre, vous pouvez assister à la cérémonie du Jour du Souvenir dans les endroits suivants:
Sturgeon Falls
Le 07 novembre 2018 - midi École publique White Woods
177 rue Ethel, Sturgeon Falls, ON P2B 2Z
https://goo.gl/maps/8ncChby532N2
Contact : 705-753-0921 Légion royale canadienne, Succursale 225
Field
Le 08 novembre 2018 - 11h00 Église catholique romaine Notre-Dame-des-Victoires
13643 ON-64, Field, ON P0H 1M0
https://goo.gl/maps/bgHxcS5cvUD
Contact : 705-753-0921 Légion royale canadienne, Succursale 225
Verner
Le 9 novembre 2018 - 11h00 École élémentaire catholique Ste-Marguerite-d'Youville
73 rue Principale, Verner, ON P0H 2M0
https://goo.gl/maps/76Qjws4f17v
Contact : 705-753-0921 Légion royale canadienne, Succursale 225
Sturgeon Falls
Le 11 novembre 2018 - 10h30 Centre communautaire et de loisirs de Nipissing Ouest
219 rue O'Hara, Sturgeon Falls, ON P2B 1A2
https://goo.gl/maps/L7r4Qr2KCYk
Contact : 705-753-0921 Légion royale canadienne, Succursale 225
Kipling
Le 11 novembre 2018 - 10h57 à 11h20 Cimetière Sunnyridge
Chemin Kipling East et Chemin Sunnyridge, Kipling, ON
https://goo.gl/maps/Ki6VUDvJ6r42
Contact: Dale Ackerland par courriel dmatma@true802.ca
Musée Sturgeon River House
Le 12 novembre, 2018 – 13h à 15h Pour célébrer l'anniversaire de l'armistice de la Première Guerre Mondiale – Entrée Gratuite
250 Chemin Fort, Sturgeon Falls, ON P2B 2W4
https://goo.gl/maps/T3SfVFyAhkm
Contact: 705-735-4716
Veuillez vous les détails de l'évènement sur facebook https://www.facebook.com/events/247298365962147/
Référence: http://www.westnipissing.ca/fr/municipal-services-f/community-services/nouvelles-et-avis/1600-ceremonies-du-jour-du-souvenir-2018
Le 12 novembre, au Musée Sturgeon River House, venez voir la toute nouvelle exposition qui met l’accent sur les personnes de notre communauté ayant participé aux Première et Deuxième Grandes Guerres.
Le personnel et les bénévoles du Musée Sturgeon River House, lance une invitation spéciale à toute la population de venir visiter, le 12 novembre, une toute nouvelle exposition qui met l’accent sur les personnes de notre communauté ayant participé aux Première et Deuxième Grandes Guerres.
L’exposition réunit un nombre imposant de photos et de souvenirs variés des soldats de familles bien connues de la région. Ces familles touchées par la guerre ont gardé bien précieusement et pour longtemps ces souvenirs mais petit à petit les ont offert au musée pour qu’ils soient partagés avec la communauté. En cette année 2018 qui marque le centennaire de l’Armistice, le personnel et bénévoles du musée ont fouillé, trouvé et dépoussiéré tout un attirail de guerre pour ensuite monter une exposition impressionnante. On y retrouve des uniformes militaires de la marine et de l'armée (fantassin), des photos de vétérans de 1914-1918 tel Joseph Thibert, des médailles, des livrets (BAYONNET TRAINING 1916, Welcome Home, Citizenship), des lettres, une page d’INSTRUCTIONS, une décharge militaire, un livre d“Officer’s Record of Services”, des jumelles, une boussole, etc.
La nouvelle exposition raconte l’histoire de gens de chez nous qui ont vécu la guerre dans toute sa laideur. Bien que cette exposition m’a profondément touchée, pour comprendre le caractère absolu de la guerre, il faut vraisembablement avoir été au milieu du conflit. Je m’incline devant l’expérience des soldats d’hier et d’aujourd’hui mais du même coup je lance un appel à l”humanité entière: laissons nos différences de côté et imprégnons-nous de cette prière de St François d’Assise: “Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix : Là où il y a de la haine, que je mette l'amour, Là où il y a l'offense, que je mette le pardon…” Parallèlement, ce sera la mort des guerres de toutes les sortes, même celles que l'on porte en son for intérieur.
Raymonde Gaudette
Honneur à un vétéran de Nipissing Ouest : Lionel Davidson (2018: âgé de 95 ans, vivant dans son condo avec son épouse Jeannine)
Article parue dans Le Chaînon, automne 2018, auteurs Pierre LeRiche et Lionel Davidson
Jour du souvenir: l’origine des coquelicots rouges et coquelicots blancs
Référence http://journalmetro.com/actualites/national/871739/jour-du-souvenir-lorigine-des-coquelicots-rouges-et-blancs/
Le symbole du coquelicot rouge qu’on porte le 11 novembre tire son origine du poème anglais «In Flanders Fields» («Au champ d’honneur»). Il a été rédigé par John McCrae, médecin et professeur canadien qui a participé à la Première Guerre mondiale.
Le texte fut écrit peu de temps après le sanglant baptême par le feu de la première Division canadienne au front ouest en avril 1915. L’Ontarien se trouvait dans les tranchées d’Ypres en Belgique. La région a été la scène des combats les plus sanglants du conflit. John McCrae a soigné des centaines de soldats blessés chaque jour. Il était entouré de morts et d’agonisants. La veille de la composition de son poème, il perd au cours des combats un de ses meilleurs amis qui fut inhumé dans une tombe de fortune marquée d’une simple croix de bois. Les coquelicots sauvages commençaient à fleurir à travers ces croix. Incapable de porter secours à cet ami ni à aucun autre soldat tombé au champ, John McCrae se fit leur porte-parole dans son poème.
Il décède à l’hôpital militaire britannique de Wimereux en 1918 des suites d’une pneumonie et d’une méningite à l’âge de 45 ans.
(Source: gouvernement du Canada
Le symbole du coquelicot rouge qu’on porte le 11 novembre tire son origine du poème anglais «In Flanders Fields» («Au champ d’honneur»). Il a été rédigé par John McCrae, médecin et professeur canadien qui a participé à la Première Guerre mondiale.
Le texte fut écrit peu de temps après le sanglant baptême par le feu de la première Division canadienne au front ouest en avril 1915. L’Ontarien se trouvait dans les tranchées d’Ypres en Belgique. La région a été la scène des combats les plus sanglants du conflit. John McCrae a soigné des centaines de soldats blessés chaque jour. Il était entouré de morts et d’agonisants. La veille de la composition de son poème, il perd au cours des combats un de ses meilleurs amis qui fut inhumé dans une tombe de fortune marquée d’une simple croix de bois. Les coquelicots sauvages commençaient à fleurir à travers ces croix. Incapable de porter secours à cet ami ni à aucun autre soldat tombé au champ, John McCrae se fit leur porte-parole dans son poème.
Il décède à l’hôpital militaire britannique de Wimereux en 1918 des suites d’une pneumonie et d’une méningite à l’âge de 45 ans.
(Source: gouvernement du Canada
Référence: http://echecalaguerre.org/agir/campagnes-du-coquelicot-blanc/
Histoire du coquelicot blanc
La première campagne du coquelicot blanc fut lancée en Angleterre, en novembre 1933, par la Co-operative Women’s Guild (CWG). Cette organisation – composée de mères, de sœurs, de veuves et d’amoureuses d’hommes tués lors de la Première Guerre mondiale – menait un travail d’éducation sur les conditions socio- économiques et politiques favorisant la montée de la guerre et s’opposait activement au commerce des armes. Par sa campagne, la CWG voulait non seulement commémorer toutes les victimes de la guerre, mais également proclamer son rejet de la guerre et se dissocier des commémorations faisant subtilement l’apologie de la force militaire.
Dès 1934, l’initiative de la CWG fut appuyée par un nouveau mouvement pacifiste en Grande-Bretagne, le Peace Pledge Union qui prit dès lors en charge, jusqu’à aujourd’hui, la production et la vente des coquelicots blancs.
De nos jours, la campagne du coquelicot rouge et les cérémonies officielles de commémoration semblent oublier ce qui constitue le principal fléau des guerres contemporaines : les victimes civiles tellement plus nombreuses que les victimes militaires. Nous savons que les guerres du 20e siècle ont causé la mort de plus de 200 millions de personnes, majoritairement des femmes et des enfants, sans parler des blessures physiques et psychologiques, des réfugié-e-s et de toutes les destructions.
Hier au Kosovo, en Afghanistan et en Libye, aujourd’hui en Irak, en Syrie ou en Ukraine, le Canada est de plus en plus partie prenante d’interventions militaires menées à l’encontre du droit international. En 2015, l’afflux en Europe d’une partie seulement des millions de réfugié.e.s fuyant les guerres en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie a révélé au grand jour certaines des conséquences effroyables de ces guerres, trop souvent occultées.
En solidarité avec toutes les victimes des guerres, dont les millions de réfugié.e.s actuels, et en signe d’opposition à la politique militariste du Canada, le Collectif Échec à la guerre invite la population, à l’occasion du Jour du Souvenir, à porter le coquelicot blanc.
Histoire du coquelicot blanc
La première campagne du coquelicot blanc fut lancée en Angleterre, en novembre 1933, par la Co-operative Women’s Guild (CWG). Cette organisation – composée de mères, de sœurs, de veuves et d’amoureuses d’hommes tués lors de la Première Guerre mondiale – menait un travail d’éducation sur les conditions socio- économiques et politiques favorisant la montée de la guerre et s’opposait activement au commerce des armes. Par sa campagne, la CWG voulait non seulement commémorer toutes les victimes de la guerre, mais également proclamer son rejet de la guerre et se dissocier des commémorations faisant subtilement l’apologie de la force militaire.
Dès 1934, l’initiative de la CWG fut appuyée par un nouveau mouvement pacifiste en Grande-Bretagne, le Peace Pledge Union qui prit dès lors en charge, jusqu’à aujourd’hui, la production et la vente des coquelicots blancs.
De nos jours, la campagne du coquelicot rouge et les cérémonies officielles de commémoration semblent oublier ce qui constitue le principal fléau des guerres contemporaines : les victimes civiles tellement plus nombreuses que les victimes militaires. Nous savons que les guerres du 20e siècle ont causé la mort de plus de 200 millions de personnes, majoritairement des femmes et des enfants, sans parler des blessures physiques et psychologiques, des réfugié-e-s et de toutes les destructions.
Hier au Kosovo, en Afghanistan et en Libye, aujourd’hui en Irak, en Syrie ou en Ukraine, le Canada est de plus en plus partie prenante d’interventions militaires menées à l’encontre du droit international. En 2015, l’afflux en Europe d’une partie seulement des millions de réfugié.e.s fuyant les guerres en Afghanistan, en Irak, en Libye et en Syrie a révélé au grand jour certaines des conséquences effroyables de ces guerres, trop souvent occultées.
En solidarité avec toutes les victimes des guerres, dont les millions de réfugié.e.s actuels, et en signe d’opposition à la politique militariste du Canada, le Collectif Échec à la guerre invite la population, à l’occasion du Jour du Souvenir, à porter le coquelicot blanc.
Honneur à nos vétérans de Nipissing Ouest
Rendre honneur et reconnaitre nos anciens combattants / vétérans tout en préservant un sentiment de reconnaissance et de loyauté envers eux devrait faire partie de notre quotidien; mais trop souvent, ils sont relégués aux oubliettes. En cette semaine des vétérans, prenons le temps de se souvenir d'eux. Pour ma part, je vous propose de visiter le site suivant (Anciens combattants du Canada):
http://www.veterans.gc.ca/fra/remembrance/get-involved/remembrance-day
où vous trouverez une multitude d'information, d'activités et de videos, etc. toutes aussi informatives que super intéressantes. Enfin, et je cite ce qui est écrit sur une page de ce siteweb: "N'oubliez jamais les contributions et les sacrifices des hommes et des femmes qui ont servi le Canada en temps de guerre, de conflit militaire ou de paix, tout spécialement ceux et celles qui ne sont jamais revenus."
Voici deux vétérans de Nipissing Ouest, Henri Lavoie et Richard "Dick" Gallagher.
Le premier vétéran Henri Lavoie (PREMIÈRE GRANDE GUERRE) est le père de Fernande (Lavoie) Beaudry. Merci à Fernande qui a généreusement partager la video que son neveu a créé contenant les documents d'Henri Lavoie , vétéran de la Première Guerre Mondiale.
Le premier vétéran Henri Lavoie (PREMIÈRE GRANDE GUERRE) est le père de Fernande (Lavoie) Beaudry. Merci à Fernande qui a généreusement partager la video que son neveu a créé contenant les documents d'Henri Lavoie , vétéran de la Première Guerre Mondiale.